Pâtisserie - Bien-être & santé - Endométriose - DIY
05/11/2021
Eh oui, à force de courir partout, je me suis dit qu’une petite séance de chouchoutage te ferait le plus grand bien ! Puis Charline de Familoco s’est jointe à moi : c’est bien connu, plus on est de folles plus on rit ! Et puis, avec nos valeurs communes, c'était l'occasion rêvée de te faire kiffer un max !
Je crois que tu n’es pas prêt.e pour ce qui t’attend : le lot à gagner a une valeur de 110 € !
Bref, c’est un peu Noël avant l’heure !
Tu veux savoir ce que c’est ?!? Oui ?!?
Alors, OK, je t’en dis un peu plus sur le lot !
Charline t’offre une Box qui contient :
... le tout pour une valeur de 60 €
Et de mon côté, je t’offre :
... le tout pour une valeur de 50 €
Tu souhaites participer ?
Alors alors, pour ça, tu dois être abonné.e à nos deux comptes sur Instagram (@familoco et @toque_n_joy) et écrire un petit commentaire sous le post du jeu concours en taguant deux personnes ou plus que tu connais !
Tirage au sort prévu lundi 9/11 à 19h00 avec annonce du / de la gagnante.
Reste connecté.e !
Des bisous à toi
* pour celles et ceux qui habitent dans le Vaucluse
19/05/2021
Sans les abeilles, bourdons, papillons et autres pollinisateurs : plus de pommes, de tomates, de fraises, de courgettes, de vanille, de café ou encore de chocolat !
Anton Janša, apiculteur et artiste slovène ayant vécu au 18ème siècle (1734-1773), avait bien compris le rôle crucial que jouent les abeilles dans notre écosystème : dans son Guide complet, il écrit que « [c’est] un type de mouches, travailleuses, créées par Dieu pour fournir à l’homme tout le miel et la cire nécessaires. Parmi toutes les créatures de Dieu, il n’y en a aucune travaillant aussi durement et aussi utile à l’homme, nécessitant aussi peu d’attention de sa part. ».
Anton Janša est connu pour avoir rendu possible l’empilement des ruches ; il a également préconisé de les déplacer vers les pâturages. Ces techniques apicoles, innovantes pour l’époque et utilisées à l’heure actuelle, ont fait d’Anton Janša le père de l’apiculture moderne. Et c’est en ce sens que les Nations Unies ont décrété le 20 mai, sa date de naissance, comme Journée Mondiale des abeilles.
Depuis, cette journée se veut marquée par une forte mobilisation de la part des Amoureux de la Nature et d’autres acteurs concernés par la protection nécessaire des abeilles, toutes variétés confondues, mais aussi par leur déclin ; déclin, qui, malheureusement prend des proportions plus qu’inquiétantes ces deux dernières décennies.
30. Pourcentage de colonies d’abeilles qui meurent chaque année en France. Jean-Pierre Brûlant, apiculteur et responsable de l’association pour la sauvegarde de l’abeille noire – abeille ancestrale – dans le Centre Val de Loire, déclare : « D'année en année, je constate que les sorties d'hiver sont difficiles, cela dépend des emplacements des ruchers, mais en moyenne la mortalité sur mes ruchers est de l'ordre de 25 à 30% », corroborant ainsi les statistiques nationales.
5. Taux de mortalité des colonies d’abeilles en 1990.
37. Pourcentage des colonies abeilles (sauvages et domestiques) qui ont disparu en 2020.
10. Moyenne tolérée pour la mortalité des colonies d’abeilles par l’Institut National de la Recherche Agronomique.
100 à 1000 fois. Taux d’extinction des pollinisateurs, comparé à la normale établie.
35. Pourcentage des pollinisateurs invertébrés (abeilles, papillons, bourdons, etc.) qui disparaissent tous les ans.
17. Pourcentage des pollinisateurs vertébrés (chauve-souris, colibris, ...) qui sont menacés d’extinction aujourd’hui.
La crainte d’une disparition des abeilles n’est pas nouvelle et pourtant... élus, politiques, agriculteurs et apiculteurs... tout le monde en parle, mais trop peu nombreux sont ceux qui se mobilisent réellement et agissent concrètement pour les sauver.
Aujourd’hui, 75 % des récoltes mondiales, et donc de ce que nous mangeons, dépendent des pollinisateurs (abeilles, papillons, bourdons ou encore colibris et chauve-souris – si, si ! –) ! En effet, grâce à l’intervention des abeilles (essentiellement) et des autres espèces pollinisatrices, les plantes et arbres à fleur(s) peuvent se reproduire. Parmi ces plantes ou arbres à fleurs que l’Homme consomme, nous retrouvons les courgettes, la vanille, les fraises, les amandes... ou encore le café et le chocolat !
Ainsi, leur disparition serait une véritable catastrophe pour la santé de notre planète et la nôtre : sans pollinisateurs, plus de pollinisation et une biodiversité très affaiblie. Imaginez un monde où la culture des légumes, des fruits ou des noix n’existe plus et où les terres qui servaient à ces cultures seraient transformées en rizières ou en terres agricoles pour ne cultiver que pommes de terre et maïs. Un sol pauvre, peu vivant et un déséquilibre dans nos assiettes.
Par conséquent, il est grand temps que les principaux acteurs de cette extinction de masse modifient leurs comportements. Protéger et sauvegarder les espèces d’abeilles – et l’ensemble des pollinisateurs – est une priorité absolue !
Les activités humaines (agriculture intensive, monoculture, mise en place des réseaux mobiles 3G / 4G / 5G) et leurs effets (changements climatiques : sécheresse, hausse des températures, inondations, perturbations des rythmes naturels tels que la floraison), les agents pathogènes (parasites, champignons ou virus) et l’introduction du frelon asiatique sont les principales causes de cette mortalité.
Afin d’augmenter leur production et leur rentabilité, certains agriculteurs n’hésitent pas à utiliser des pesticides et insecticides chimiques qui provoquent des modifications moléculaires au niveau des plantes. Un véritable poison pour les abeilles qui entraîne leur mort, et notamment celle des reines. Et malheureusement, sans sa reine, une colonie court un grand danger puisque la reine est la seule à être féconde.
Heureusement, grâce aux efforts des apiculteurs, des défenseurs de la Nature et de l'ONU, certains pesticides comme le Régent, le Gaucho et le Cruiser ont été interdits. Cependant, la route est encore longue !
Avez-vous déjà entendu parler des centaines d’hectares d’amandiers plantés en Californie, pour satisfaire la demande mondiale ? Dans son dernier documentaire, Yann Arthus-Bertrand évoque la monoculture, cette pratique agricole qui appauvrit les sols, affaiblit la biodiversité et parle de la façon dont la pollinisation de ces millions d’arbres est faite. Plus de 70% des ruches des États-Unis y sont expédiées chaque printemps. Ces colonies d’abeilles échangent alors leurs maladies et beaucoup périssent. Certains agriculteurs les remplacent donc par des drones pollinisateurs. La pollinisation, d’ordinaire rendue comme un service par la Nature, est remplacée par des machines dont la fabrication génère de la pollution néfaste aux insectes présents sur place.
Pour vous donner un chiffre, on estime à 265 milliards de dollars, le service rendu par la pollinisation naturelle dans le monde.
Allons encore plus loin. Pour parer leur disparition éventuelle, certains laboratoires sont également en train de développer des colonies d’abeilles artificiellement, en leur donnant des caractéristiques pour être plus résistantes, quitte à éradiquer les autres espèces d'abeilles... tout en les nourrissant uniquement de sirop de glucose ! Un vrai choc quand on sait qu'il existe une espèce d'abeille sauvage très résistante : l'abeille noire ; et, qu’à la base, la principale nourriture des abeilles est le miel qu’elles fabriquent ou encore le pollen qu’elles récupèrent sur les plantes qu’elles butinent.
Réseaux mobiles. Menée en 2011 en Suisse par le biologiste Daniel Favre, une étude prouve que les réseaux mobiles déployés ces 20 dernières années agissent comme perturbateurs dans le comportement des abeilles et l’organisation de la colonie. Lorsqu’un téléphone émet ou reçoit un appel, de nombreux départs de ruches, problèmes d’orientation ont été observés :
« Lorsque le téléphone sonne, le bruit des abeilles augmente considérablement et cela donne le signal du départ de la ruche » a expliqué le Dr. Favre. « Souvent, elles sont si confuses qu'elles volent vers leur mort ». Les abeilles peuvent également la ruche durant l'hiver, à un moment où elles n'ont aucune chance de survivre dans la nature.
Autre témoignage, de Sahib Pattazhy en 2009 : « Il a été constaté dans une expérience, que lorsque que le téléphone mobile était maintenu à proximité d'une ruche, cela avait entraîné l'effondrement de la colonie dans les 5 à 10 jours, avec des ouvrières incapables de rentrer chez elles, laissant seules les ruches avec des reines, des œufs et des abeilles encore immatures. »
Conséquence : en moins de 20 ans, la production du miel a chuté de moitié !
Quel que soit notre statut, des solutions existent :
En tant que citoyen(ne), préférer l’achat de miel de vos apiculteurs locaux, éviter d’utiliser des pesticides, des fongicides ou des herbicides dans nos jardins ou balcons, parrainer une ruche, acheter des plantes, arbustes ou arbres dits mellifères pour diversifier leur nourriture, offrir des fleurs aux abeilles, leur faire un petit nid ou leur laisser un récipient propre avec de l’eau, protéger les ruches sauvages... Si ça vous tente, renseignez-vous !
En tant qu'apiculteur(trice) ou agriculteur(trice), il est vital de protéger l'abeille Noire (très résistante, elle existe depuis des millions d'années !), renoncer aux produits phytosanitaires qui sont toxiques pour les pollinisateurs et les écosystèmes, favoriser des techniques comme le paillage ou le plantage de haies, privilégier la diversité des arbres, légumes ou céréales plantés, favoriser une agriculture biologique / raisonnée et responsable, bref, cesser la monoculture à grande échelle et réintroduire la nature là où toute vie a été artificialisée.
En tant que gouvernement et décideur, renforcer la participation des communautés locales dans la prise de décision, notamment celle des populations autochtones qui connaissent et respectent les écosystèmes et la biodiversité, proposer des aides financières pour accompagner ceux qui le souhaitent à ce grand changement, accroître la collaboration entre les organisations nationales et internationales, les organismes et les réseaux universitaires et de recherche pour surveiller et évaluer les services de pollinisation.
Un modèle économique et agricole basé sur le respect de la biodiversité est tout à fait viable, partout dans le monde.
Ouvrières, Reines ou Faux-bourdons (mâles), nos chères Butineuses vous remercient d’avoir lu cet article et espèrent que vous aurez entendu leur « bzzz » !
Sources :
https://www.pollinis.org/
https://ecotree.green/blog/journee-mondiale-des-abeilles-protegeons-les https://www.fondationdefrance.org/fr/journee-mondiale-des-abeilles
https://www.apiculture.net/blog/le-point-sur-la-journee-mondiale-des-abeilles-n214 https://www.un.org/fr/observances/bee-day#:~:text=Pour%20attirer%20l'attention%20de,mai%20Journ%C3%A9e%20mondiale%20des%20abeilles
https://www.robindestoits.org/Les-ondes-des-mobiles-fatales-pour-nos-abeilles-Mai-2011_a1229.html
21/04/2021
... Oui ? J'en suis ravie !! Mais tout d'abord... un peu d'histoire.
Né en 1970 aux Etats-Unis, la Journée Mondiale de la Terre prend racine grâce à un sénateur du Wisconsin, Gaylord Nelson, et à un étudiant d'Harvard, Denis Hayes.
A l'époque - le 22 avril 1970 donc -, ils décident de former un rassemblement comptant 20 millions de personnes afin de dénoncer les sociétés polluantes à la suite d'une prise de conscience : nous, Terriens, sommes tous impactés et concernés par ce qu'il se passe sur la planète qui nous héberge et notamment par la façon dont les ressources sont utilisées.
D'où vient cette prise de conscience me direz-vous ? De la première photo de la Terre vue de l'Espace qui a été prise ce jour-là.
Vingt ans plus tard, 130 autres pays dont la France se joignent à ce mouvement citoyen ; de très nombreuses actions sont menées de façon conjointe le 22 avril 1990 : plantations, concerts, etc.
Des idées pour cette année ?
Recycler vos piles, supprimer les e-mails inutiles (spams) et vider la corbeille de votre messagerie, trier vos vêtements et leur donner une seconde vie (relais Textile, par exemple)... Bref, petite(s) ou grande(s), ces actions doivent vous ressembler et vous motiver ! 😉
Ici, chez Toque n'Joy, j'ai décidé de célébrer la Terre en revisitant le Fraisier classique avec des produits cultivés en pleine terre : une farine de blé de qualité et bio, des fraises fraîches issues du circuit court et de la menthe bio tout droit venue.... de mon balcon. De quoi vous proposer des ateliers pleins de fraîcheur et de gourmandise !
Belle Journée de la Terre à toutes et à tous !
Source : https://jourdelaterre.org/fr/blog/2017/04/22/le-jour-de-la-terre-cest-quoi/
07/03/2021
Ca y est, c'est le grand jour : Toque n'Joy se lance dans le grand bain !!
Alors, pour fêter ça, quoi de mieux qu'un petit code promo ?
Que ce soit pour les ateliers programmés ou pour un atelier que vous souhaitez privatiser et quel qu'en soit le montant, une réduction de 8 % est offerte aux 21 premières réservations !
Pour en profiter, rien de plus simple : il suffit de me contacter par le moyen que vous voulez (téléphone, message privé sur mes réseaux sociaux, mail, etc.) et d'écrire ou de me dire le code promo magique READY321 dans votre demande !
Je vous attends avec impatience !